Huguette Eichwald, romancière et artiste peintre

Huguette Eichwald




vous propose,


avec ses romans,


de beaux moments de lecture



Venez dans son monde


vivant, coloré,


gai et généreux !




la romancière Huguette Eichwald



Pendant de nombreuses années, Huguette Eichwald, Romancière- Artiste peintre a été Galeriste à Strasbourg.



Elle a ensuite troqué sa vie trépidante contre le bonheur simple, avec son époux et ses chevaux. C'est dans un petit paradis de verdure, niché au fond d'une vallée idyllique, que vit cette artiste aux multiples facettes. Elle a été séduite par le calme et l'espace pour se consacrer à ses passions.



Dans ses romans, elle livre avec générosité une nouvelle facette d'elle-même. Cette infatigable amoureuse de la nature et des animaux nous permet de rêver ; et à travers ses ouvrages, elle nous emmène vers un monde plein de poésie. Sa sincérité ne fait aucun doute, elle plaira à tout lecteur !



Elle aime recevoir dans son intérieur gourmand, curieux, bavard..., à son image... "J'éprouve le sentiment de liberté que je cherchais devant une page vierge" dit-elle, sans renier ses années de peintures, d'expositions ici et ailleurs,"toutes les démarches m'intéressent, je ne veux pas m'enfermer dans une seule..." revendique cette artiste dont les peintures figuratives sont disséminées autour de la planète, chez les particuliers et les collectionneurs. "Quand je suis devant une toile ou une page blanche, tout est déjà dans ma tête" déclare cette femme, aux yeux pétillants et au sourire sympathique. Tout est nature : son accueil, sa simplicité, son humour, son besoin de liberté, encore et toujours, qu'elle transmet à ses œuvres.



Elle se refuse à s'orienter, à se caser dans un profil. Le ressenti des autres la passionne, elle ouvre le dialogue, elle est à l'écoute, elle peint ou décrit ses émotions, sa joie de vivre comme personne. .



Bonheur et sérénité sont ses thèmes favoris : l'amour, la nature, dans la simplicité d'un instant d'harmonie, la nostalgie diffuse d'un équilibre qui est l'émotion d'un regard en quête de la beauté du quotidien.



Ses oeuvres sont l'intimité avec un art de vivre, la reconnaissance d'une identité de toujours, accord de l'artiste et de son public . . .



Ses ouvrages plaisent, ils sont d'une étonnante richesse de verbes qui fusent et griffent, de mots qui claquent et mordent ; les images sont pleines de couleurs, de lumières, de vie, de gaieté et de sentiments contrastés.



Cette chanceuse que le talent porte depuis ses plus jeunes années, écrit, écrit, écrit, raconte... Elle troque ses rêves contre des romans, noircit des feuilles, des carnets dans son bureau feutré.



La réaction renvoie à des évidences qu'on a tendance à oublier : "Il n'y a pas de honte à plaire, je ne me renie pas, j'essaye avant tout d'être sincère". Son choix est celui de l'amour du vrai.



L'écriture de Huguette Eichwald est originale, atypique et chaleureuse. Elle nous transmet son enthousiasme et la lecture de ses romans est un pur bonheur.



Selon l'artiste, la peinture ou l’écriture sont assez proches : "On utilise tout lorsqu'on peint ou l’on écrit : sa propre vie, la vie des autres, son vécu, celui de son entourage, ses incertitudes, ses convictions, ses paradoxes, ses fantasmes, le bleu du ciel, les reflets sur l'eau... Ce sont des émanations de la totalité de nos humeurs, de nos pensées".



"Un tableau est l'âme du peintre, un livre celle de l'écrivain". Plus cette âme sera haute, pure, lyrique et surtout musicale, plus l'ouvrage sera beau. Cette harmonie, ce lyrisme, nous le retrouvons chez Huguette Eichwald : une littérature moderne, vivante et à travers elle, la romancière transmet sa joie de vivre, ses sourires et son étonnante sincérité.


Ses talents d'artiste peintre, de poète et de romancière lui ont valu de nombreuses récompenses, prix et médailles (entre autres : la Médaille d'Argent de la Société Française du Mérite de l'Elite Artistique). Elle est également diplômée par le Cercle des Arts et Lettres de France et elle a obtenu la Médaille au Concours International Littéraire pour ses poèmes.



Elle a eu le plaisir de participer aux films « l’Affaire Gadet » en 1984 et « Jeux de Lois » en 1985.



Ses ouvrages sont en librairies, grands magasins, bibliothèques et médiathèques.



Les grands quotidiens ont relaté ses participations à des journées de dédicaces.



L'artiste a participé à de nombreuses émissions de télévision et de radio.




Prendre contact


avec l'artiste



eichwald.huguette@gmail.com



06 33 03 85 02



http://www.huguette-eichwald-romanciere.blogspot.com






Toute une vie d'orages...



Toute une vie d'orages...




3ème Prix et la Médaille de la Ville de Bordeaux


en 1988


pour " Toute une vie d'orages…"




La saga d'une famille décadente


traversant le XXème siècle



Toute une vie d'orages...

pitch

Elle est adulée par ses parents,


gâtée par la vie


mais elle cherche l'impossible,


encore et toujours...


Et en butinant les fleurs du mal,


elle se brûle aux feux de l'Amour.


Vic ! Oh Vic ! Qu'as-tu fait de ta vie ?...





Avec sa sensibilité à fleur de peau et son écriture simple et directe, la romancière entraîne le lecteur dans la vie tumultueuse de Vic.



L'auteur raconte les amours, les espoirs déçus, les déchirures, la quête du bonheur de cette jeune femme singulière et captivante.



Cet ouvrage vous fait traverser avec bonheur le XXème siècle avec une famille de terriens qui dilapident leur patrimoine sans vergogne.



extraits

............. Tout avait commencé par un après-midi torride, dans une chaleur lourde, pleine de promesses d'orages....



Elle arriva en fin de journée, labourant sur son pas­sage la chair à vif et comme une boule de feu, atterrit entre les jambes de sa mère lorsque le premier coup de tonnerre fracassa le silence de ce début de soirée suffocante.



Son premier cri fut comme un chant de victoire, on l'appela ainsi, pour en faire Vicky, Vic tout simplement, ce di­minutif étant plus masculin.



Car, lorsque la sage-femme avoua à Ronald que cette petite chose immonde était une fille, il s'en détourna, outré ; il avait souhaité, du plus profond de son être, avoir un héritier pour lui léguer et le nom et le domaine.



Anne Deschènais, aussi, fut déçue, car elle n'aurait jamais accepté une deuxième maternité qui aurait pu déformer son corps si beau, friper sa peau si douce, si blanche...................




............... La nature était si belle après l'orage, le soir, avant que la nuit tombe ; les fleurs sentaient si bon ; elle respirait à plein poumon le parfum lourd de la terre gorgée d'eau. Elle avait traversé le calme de la forêt avec le chant des oiseaux pour fond musical ; des insectes invisibles qui bruissaient l'accompagnaient jusqu'au ruisseau. Elle avait vu le renard partir en chasse sur le petit chemin qui grimpe en pente douce sous le couvert des arbres.



Arrivée au bord du cours d'eau, Vic s'arrêta. Il était tout plein de ses eaux d'été. Elle s'est assise sur la pierre du pont et elle re­gardait couler l'eau. L'attente se prolongea.



Vic descendit le talus, écartant les hautes herbes sur son passage, son chien sur les talons. Elle enleva ses sandales, son orteil frôla l'eau froide ; son chien se lança dans les roseaux ; elle rit ; elle sauta dans l'eau glacée qui glissait sur les pierres nues, lisses et brillantes où se jouait le soleil ; sous ses pieds, le sable fin était un doux tapis.



Le chien coursa de menus poissons qui filaient pour un grand voyage, puis s'arrê­taient net, dans un lit de cresson, pour réfléchir. Une vaguelette se jeta contre des rochers ; une jolie rainette verte, cachée sous une touffe d'iris gonfla son gosier. Le chien barbotait, courait, revenait, aboyait de plaisir. Vic hésita : se dévêtir ou pas ? Elle aimerait s'y baigner. Elle remonta sur la berge.



Allongée sous un arbre, les yeux mis clos, Vic attendit. Le clapotis de l'eau lui fredonnait un air reposant. Une libellule prenait son bain d'ailes et fit jaillir des perles dans son vol. Et le martin-pêcheur si bleu et si beau guettait sa proie, assis sur une branche d'un sureau qui avait poussé là, en gros bouquet.


Adrien vit la jeune fille, elle attendait, son chien blanc à ses côtés, elle jouait, innocente, avec des brindilles, ses jambes nues balayaient l'eau du ruisseau.



Elle était assise tout au bord, elle s'était changée, elle portait un short blanc, moulant, et un chemisier à manches courtes, rouge comme le sang, rouge comme l'amour, elle l'avait noué sous sa poitrine, son ventre était bron­zé, nu, à portée de main........................




204 pages 15 €



ATTENTION ! ARNAQUES...




Attention ! Arnaques...




un récit humoristique


qui fait visiter


d'une façon inhabituelle


la région natale de l'auteur





ATTENTION ! ARNAQUES...

pitch

Pour trouver le petit nid d'amour


pour leurs vieux jours,


ce fut un parcours du combattant,


semé d'embûches, riche en péripéties...


des tribulations avec cent et une situations,


toutes plus cocasses les unes que les autres...




La romancière emmène le lecteur visiter sa région natale en la décrivant avec les yeux de Chimène.



Elle essaye de dénicher, pour elle et son époux, un petit nid où passer quelques années de leur retraite.



Or, rien ne se passe comme prévu... Les vendeurs, les agents immobiliers, les propriétés visitées... tout, mais tout, ne ressemble... à rien....



Scènes cocasses... l'on sourit souvent à cette lecture... et le rire est garanti à certains passages !




extrait

.................La rue serpente entre prés et fermettes, dont clôtures avachies et volets fermés nous rappellent qu’elles sont abandonnées ou que leurs résidents du dimanche ne s’attellent guère aux travaux.



Nous nous arrêtons devant un portail, en piteux état lui aussi. C'est une pauvre maison entourée d'un enclos faisant office de jardinet, son crépi ne semble pas avoir été repeint récemment, elle attend des jours plus heureux.



Monsieur A. ouvre portes, volets et fenêtres. Tout est à refaire.



- c’est fermé et inhabité depuis quelques mois !



Nous l’avions deviné, cela sent l’humidité et le moisi à plein nez !



C’est effectivement une vieille fermette, adorablement petite, une maison de poupée, faite pour des petites gens, je dirai même des lilliputiens. Mais qui donc avait bien pu vivre ici ?



Les murs humides servent de prison aux années qui s'y étaient accumulées comme s'ils avaient préféré l'obscurité à la lumière et le passé à l'avenir.



Dans la cuisine, l’eau suinte entre les dalles de grès et le torchis des murs dégringole dans le vieil évier.



- détail ! C’est facile à chauffer, vous verrez !



La grande pièce à vivre, appelée pompeusement « salon » est si basse que nous devons baisser nos têtes ; effectivement, cette demeure est facile à chauffer avec ces hauteurs de plafond : un mètre soixante !



Les fenêtres tombent de leurs chambranles et les vieilles planches de bois du sol couinent douloureusement sous nos pas.



Les sanitaires sont inexistants : il faut aller à l’extérieur… C'est là-bas, la petite cabane avec sa porte décharnée, et l'ouverture en forme de cœur qui fait office de fenêtre....................




278 pages 17 €


UNE ECOLE... SI... PARTICULIERE...



Une école...


si... particulière...





Un mort,


sans coup de feu, ni sang versé...


Une enquête menée tambour battant...




Une école... si... particulière...

pitch

Un policier dans une grande école


Une mort suspecte !!!


Dans cet établissement ???


Impensable !!!


En haut lieu, on s'agite !!!


Le commissaire Planchon doit élucider,


vite fait, bien fait, et sans vague, bien sûr...


cette très regrettable affaire !!!


Notre fin limier mène son enquête avec son flair habituel...



Qui a tué ce jeune homme, descendant d'une grande famille ? Et pour quelles raisons ?


Le Commissaire a du pain sur la planche !


Sa hiérarchie lui demande de boucler l'affaire, vite et dans le "bon sens"...


L'enquête nous mène dans les méandres d'une grande école...




extrait

......... - pas de gyro, discret, discret les gars !


- où allons-nous, patron ?



Les voitures banalisées sortent à la queue leu leu de la cour du Commissariat et se dirigent rapidement vers les quais.



La tempête a fait rage cette nuit ; elle a cassé des branches qui encombrent encore la chaussée. La pluie froide s'abat en trombe et la rend glissante. Des bourrasques se lèvent par intermittence, elles balayent les dernières feuilles qui faisaient de la résistance depuis l'automne. La cohorte de véhicules fait gicler des gerbes d'eau sur les rares passants qui se dépêchent, dos courbé, slalomant entre flaques et déjections canines.



En passant le pont qui enjambe la rivière aux flots houleux, ils évitent de justesse un adolescent, ses oreilles bouchées, comme il se doit à son âge, par ces infâmes appareils qui leur distillent leur musique préférée. Malgré la pluie qui a redoublé son débit, il avance, sourd au monde qui l'entoure, indifférent à tout, les yeux mi-clos, un minable sac dans le dos, les mains au fond des poches de son jean bien trop grand pour lui.


Quelques canards nagent frénétiquement contre le courant, pour aller on ne sait où, persuadés de trouver leur pitance un peu plus loin. L'eau sale est à fleur des berges ; si ce mauvais temps continue encore quelques jours, il y a des crues en perspective, pense le Commissaire. L'hiver n'est pas prêt de s'arrêter en si bon chemin ; cela fait déjà quelques semaines que la température ne veut pas grimper vraiment.



Le moral des troupes est en berne ; ils ont encore quelques affaires non élucidées sur les bras et le préfet n'est pas content du tout, du tout. Au niveau des états-majors, ça s'agite, et bien sûr, la mauvaise humeur redescend la hiérarchie pour s'abattre plus fort sur le personnel du terrain.



Et ce n'est pas cette affaire-là qui arrangera le tout !



Pensez ! Un macchabée, pour le moins suspect, dans cette grande école qui a accouché de la plupart des têtes pensantes du pays ! Cela ne s'était jamais vu ! Inconcevable, qu'il a dit, le préfet !



C'est le fils d'un ponte de la finance et d'une aristo... qui sont en voyage... qui sont très ami-ami avec le grand patron... et en famille avec le ministre... Mais il paraît qu'ils ne sont pas en bons termes avec leur rejeton... La direction a prévenu le Commissaire Robert Planchon.



- Vous allez mener..........................




272 pages 17 €



FOLLE RANDONNEE



Folle randonnée





De magnifiques forêts parcourues à cheval !


Vous vivrez de belles balades


dans un massif montagneux


qui vous fera rêver !




Folle randonnée

pitch

Traverser cette magnifique région,


à cheval, par monts et par vaux...


Cela devait être une semaine de pur bonheur...


Mais la vie réserve toujours des surprises...





Ce roman divertissant raconte avec verve et humour la semaine folle de jeunes citadins.



Ils vont parcourir à dos de cheval montagnes et forêts... Ils vont s'aimer, souffrir, se détester...



Et cette randonnée n'a pas l'épilogue qu'ils espéraient....



Avec ce roman, l'auteur fait vivre au lecteur sa passion dévorante pour les chevaux en l'entraînant dans cette histoire troublante.



Si vous aimez la nature, les animaux, les énigmes, vous vivrez de belles heures d'évasion.




extrait

................ Les chevaux n'attendent que cela ! Ils foncent, la crinière au vent ; des casquettes tombent ; le bruit des fers sur les pierres qui roulent entre dans le plexus ; la poussière soulevée irrite les yeux ; les cavaliers sont tendus sur leur monture ; pour certains, c'est leur premier galop en pleine nature, ils n'ont connu que le manège ou la reprise au pas, petit doigt levé, au Bois de Boulogne, sur des poupées de manège. Jean-Charles surnomme ainsi les chevaux qu'on bichonne dans le box, qu'on sort pour une promenade d'une heure et qui ne doivent surtout pas transpirer, sinon gare au coup de froid !



Le chef de file se retourne, compte sa troupe... ouf ! Aucun ne s'est perdu aujourd'hui ; c'est qu'il a déjà tout vu avec ses clients !



Ils sont tous las, essoufflés, échevelés, mais le bonheur dans les yeux !



- Je n'ai encore jamais ressenti ça !


- Moi non plus !


- Moi, j'ai senti comme une chaleur dans mon ventre !


- Moi, c'est plutôt dans...



Et chacun d'expliquer ce qu'il a éprouvé en galopant !



Les cavaliers reprennent leur souffle, les chevaux aussi ; ils fouaillent de la queue pour se débarrasser des mouches importunes.



En contrebas, le village s'étale paresseusement sous un soleil limpide ; on assiste à un concert de cloches, à un envol de pigeons, on entend la sirène d’un camion de pompiers et des cris d'enfants qui jouent sur la place du village.



Les chevaux veulent accélérer leur pas, ils sentent l'écurie et surtout la ration du soir !



Déjà l'immense domaine apparaît au tournant du chemin, protégé des regards indiscrets par un haut mur de pierres orné de deux têtes de lion sculptées de chaque côté de la grille.



Les chiens Falco et Orak, éperdus d'amour pour leur maître, attendent fidèlement près de la fontaine où l'eau s'écoule lentement jusqu'à l'abreuvoir taillé dans la roche rouge du pays.



Après avoir dessellé, pansé et abreuvé leurs compagnons,................




..........Alexia lève ses beaux yeux sur l'homme qui se tient en face d'elle ; elle ne sourit pas, elle attend, son cœur bat la chamade. Sa beauté a quelque chose d'un peu mélancolique et de très doux.



Il s'approche de son fauteuil, s'assoit sur l'accoudoir, lui enlève le verre des mains, lui prend le menton dans sa large main et baisse lentement la tête vers ses lèvres. Il l'attire vers lui, plus près, d'un bras passé autour de ses épaules. Elle retrouve sur sa bouche, le goût de cette bouche d'homme, elle ferme les yeux et le monde vacille autour d'eux.



Il a une envie sauvage de cette femme. Il y va à l'instinct, sans savoir si elle va le gifler. Elle ne le gifle pas. Au contraire, elle répond avec autant de fougue à ses caresses. Sans un mot, ils se lèvent, main dans la main, se dirigent vers l'étage : là-haut, la chambre de Jean-Charles les attend..................




220 pages 15 €


LA VALLEE PERDUE - Les Celtes



La vallée perdue


Les Celtes




Vous ferez un voyage dans le temps, un retour vers le monde des Celtes, qui vous tiendra en haleine du début jusqu'à la fin... La romancière vous fera vivre


cette époque avec son bagout et sa verve !



L'auteur entraîne le lecteur dans une époque bien lointaine, dans un monde fantastique où vous vous sentirez tout de suite devenu "Celte".



L'histoire traverse le temps en nouant toutes sortes d'intrigues.



Avec une aisance déroutante, toujours formidablement divertissante, la romancière enchantera tous les amateurs de saga historique qui évoque la vie d'un clan de Celtes dont les descendants traverseront les siècles.



354 pages 20 €



La vallée perdue - Les Celtes

La vallée perdue  -  Les Celtes
Ils arrivent ! Ils sont là !

pitch

Pour chercher une vie meilleure, de très loin, ils sont venus.


Sur leur route, ils ont trouvé famines et maladies,


ils ont connu la violence, le désespoir et les guerres.


Ils se sont arrêtés là, ils ont choisi ce coin de terre


où ils ont aimé, souffert... et tué l'ennemi.


Traversant les siècles, ils ont fait l'histoire de cette vallée perdue...





L'auteur entraîne le lecteur dans une époque bien lointaine, dans un monde fantastique où vous vous sentirez tout de suite devenu "Celte".



L'histoire traverse le temps en nouant toutes sortes d'intrigues.



Avec une aisance déroutante, toujours formidablement divertissante, la romancière enchantera tous les amateurs de saga historique qui évoque la vie d'un clan de Celtes dont les descendants traverseront les siècles.




extraits



.........Hogul soulève le lourd pan de cuir, fait deux pas dans la neige, elle craque sous ses pas. Il ouvre ses braies avec sa main noueuse et pisse. Il crache sur le jet jaune, rote grossièrement et pète avec délectation tout en regardant l'immensité blanche autour de lui. Le ciel est clair, la lune semble se moquer des myriades d'étoiles qui scintillent au firmament. Il fait froid. Très froid.



A sa droite, le toit de la bicoque des bêtes commence à s'effondrer sous le poids de la neige. Une chèvre bêle piteusement ; elle a été repoussée hors de l'abri précaire. Les animaux la sentent trop faible, elle prendrait la place et la nourriture d'un bien portant. La nature est sans pitié. Les hommes aussi.



Il entend les animaux racler le sol à la recherche de quelque pitance car les feuilles mortes jetées dans l'appentis ne les rassasient plus guère : "Par Bélénos[1], il faudra qu'on voit ça lorsqu'il fera jour..." pense le Celte, en grattant sa tignasse hirsute. Il baisse sa tête, courbe son grand corps pour rentrer dans la hutte et laisse retomber le panneau dans son dos.



Cela sent fort un remugle de vêtements mouillés, de sueur rance, de soupe aux choux et l'urine de la vieille Beara qui ronfle dans un coin. Le feu s'éteint doucement entre les pierres posées au milieu de l'unique pièce.



Hogul éructe quelques sons inaudibles, cogne de son pied le jeune Zowar, roulé en boule sur un matelas de fougères séchées, ramassées avant l'hiver. La tête du garçon émerge du sayon[2] qui le couvre, il cligne des yeux. D'un geste, son père lui fait comprendre de raviver le feu mourant, puis s'allonge sur sa paillasse, tout contre Aissa. La femme s'agite dans son sommeil, l'homme l'attire à lui, la tourne sur le ventre, lui prend les cheveux à pleine main, lui relève sa chemise en laine et ............



............... En queue de cortège, solidement assis sur des ballots bien fixés sur la carriole, Zowar, dos au convoi, les cheveux au vent, a le regard tourné vers Argentorate qui s'éloigne peu à peu, qui devient un petit point à l'horizon. Cette ville qui l'a métamorphosé en si peu de temps. Cette ville où il laisse son enfance. Presque avec un peu de regret dans son âme. Il est avec ses pensées auprès de Duna. De Mellit.



Lorsque les hommes s'arrêtent le soir sous la clarté de la lune, ils regardent scintiller les étoiles et se disent : "Là-bas nos femmes et nos enfants les regardent aussi ! Bientôt nous serons de retour". Le trajet leur semble long. Beaucoup plus long qu'à l'aller.



Les hommes se moquent gentiment de Zowar qui, pensif, fuit le cercle lumineux autour du foyer et se plonge dans ses pensées. Duna... Mellit... Le jeune garçon... Il ne connaît même pas son nom ; il n'a pas entendu le son de sa voix, uniquement quelques râles................



................... Encore une journée sous le feu du soleil, une journée de plus à transpirer, à pousser, à courir après une chèvre capricieuse ou une brebis qui veut prendre la poudre d'escampette. Une journée à prier les dieux d'être avec eux lorsqu'une roue se fracasse sur les mauvais cailloux ou lorsque l'une ou l'autre carriole s'enlise dans le sable de la rivière au passage d'un gué.



Hogul est fier de Zowar. Il regarde son fils assis sur le beau cheval noir qu'il a troqué contre des arcs et la peau de l'ours tué l'automne dernier. Dorénavant il fait partie du clan des hommes. Cette expédition l'a mûri, il a également grandi. Ce voyage a été enrichissant pour lui, pour tous d'ailleurs. On ne revient jamais comme l'on est parti. Tout à coup .....








[1] Bélénos : dieu celte qui apporte chaleur, réconfort, fertilité et richesse



[2] Un sayon est un manteau constitué d'une étoffe carrée, qui sert aussi de couverture la nuit


UN RECUEIL DE POEMES ILLUSTRES

Recueil


de Poèmes et de Pensées



Ouvrage sur papier glacé illustré de très belles photographies



124 pages 12 €




L'HORLOGE DU TEMPS EGRENE LES JOURS...

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Recueil de poèmes et de pensées

L'horloge du temps égrène les jours...

Un recueil illustré de poèmes et de pensées...


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